NE LAISSEZ PAS LE HASARD DÉCIDER DE VOTRE AVENIR PROFESSIONNEL !
DEVENEZ LE 1ER DÉFENSEUR DE VOS DROITS !

DT NPDC – Téléconduite : une mise en place à marche forcée

C’est pourquoi, malgré les arguments avancés par la direction, les organisations syndicales ont voté unanimement « contre » ce projet lors du CSA d’avril dernier.

Depuis l’annonce de la mise en place de ce projet, la CFDT-VNF s’est faite écho des craintes grandissantes des agents et s’est engagée activement à défendre leurs droits et leurs intérêts. En effet, cette évolution va bien au-delà d’une simple modernisation technique : elle modifie profondément l’organisation du travail des agents et leur rapport au terrain.

Les éclusiers, habitués à intervenir localement, se retrouvent confrontés à la perspective d’une centralisation qui remet en question leur rôle de proximité, pourtant essentiel pour la sécurité des installations et la qualité du service public. Ils redoutent une perte de sens dans leur travail autrefois
ancré dans le concret et le local. Cette évolution impactera leurs conditions de travail : diminution des effectifs, risque de surcharge de travail…

La réduction sur site de la présence humaine chargée d’assurer le service public inquiète les agents et la CFDT-VNF. En effet, les usagers bénéficiaient jusque-là d’une assistance directe en cas de besoin, une réactivité que la téléconduite pourrait fortement affaiblir car elle rompt le lien de proximité qui faisait la force de VNF.

Préalablement à la mise en place de la téléconduite, la DT NPDC a souhaité faire évoluer l’offre de service de son réseau grand gabarit pour atteindre, à terme, une exploitation 24 h/24 et 7 j/7. Cette nouvelle offre de service est effective depuis le 3 juin dernier sur l’ensemble de ce réseau, à l’exception d’une écluse qui passera à ces nouveaux horaires dans quelques mois. Ce périmètre représente 84 postes de travail d’exploitation.

La téléconduite des écluses du réseau grand gabarit sera assurée depuis un poste de commande centralisé (PCC) unique, implanté sur 2 sites : Waziers et Valenciennes. Sa mise en place est organisée en 4 étapes :

  • Phase 1 (2024) : Itinéraire Escaut — 6 sas
  • Phase 2 (2025) : Itinéraire Sensée-Deûle et écluse de Palluel — 10 sas
  • Phase 3 (2026) : itinéraire Bauvin-Dunkerque — 4 sas
  • Phase 4 (horizon 2030) : Canal Seine-Nord Europe

La première phase était prévue initialement le 16 décembre 2024 mais la direction nous a annoncé le report de sa mise en place en raison de problèmes techniques rencontrés lors de la phase de tests. Ce report d’environ 3 mois n’est pas sans impact en termes d’organisation de travail et de coût financier pour VNF qui doit prolonger les contrats des CDD en conséquence.

L’organisation de la première phase du projet s’articule autour

  • d’un responsable de PCC,
  • de 12 opérateurs,
  • de 5 chefs de salle.
    L’exercice d’affectation des agents s’est achevé mi-septembre. Sur les 18 éclusiers,
  • 10 ont accepté d’évoluer vers le poste d’opérateur,
  • 2 ont été retenus pour un poste de chef de salle,
  • 1 est maintenu à son poste à l’écluse (départ en retraite dans moins de 2 ans),
  • 5 ont refusé leur proposition d’affectation en tant qu’opérateur ou chef de salle.

Un plan de formation pour l’intégration des agents au PCC est en cours de déploiement depuis mai dernier. Parallèlement, un recensement des compétences détenues et attendues par les 5 agents qui n’intégreront pas le PCC est ou sera engagé.

Le travail sur la réorganisation de la maintenance n’ayant pas encore été initié à la DT NPDC, il a été difficile pour les agents concernés de se projeter sur cette filière sans avoir d’autres véritables alternatives. Sur les 5 agents ne souhaitant pas rejoindre le PCC, 4 agents se sont vu proposer un poste notamment dans le domaine de la maintenance. Un agent s’est vu « imposer » un poste qui ne lui convient pas.

La CFDT-VNF dénonce un manque d’accompagnement de ces agents, un manque de visibilité en amont du prépositionnement sur les postes vacants. Même si les agents ont pu bénéficier d’entretiens individuels en 2023 et 2024 et de réunions d’information en UTI au cours desquelles ils ont pu poser leurs questions, ils n’ont pas pour autant obtenu toutes les réponses utiles, car le projet s’est précisé au fur et à mesure de sa mise en œuvre.

La CFDT-VNF avait demandé la mise en place d’une foire aux questions (FAQ) spécifique afin de permettre aux agents concernés d’être informés et de faire un choix éclairé quant à leur avenir professionnel à VNF. Malheureusement, cette FAQ n’a jamais été mise en place. Les agents ont dû se contenter de l’ouverture d’une boîte mail « téléconduite ». Elle déplore également que les futurs chefs de salle potentiels n’aient eu que tardivement connaissance du planning définitif.

Pour la CFDT-VNF, les moyens humains ne sont pas une option, mais une nécessité pour le succès de la téléconduite. Elle défend une vision où modernisation et respect des agents vont de pair.

De nombreuses questions techniques se posent et sont relayées par la CFDT-VNF. En effet, la présence physique des agents sur le terrain est cruciale pour réagir rapidement en cas d’incident (embâcles) ou de panne. La téléconduite limite la capacité d’action immédiate en cas de problème : quelle sera l’organisation de demain pour pallier ces difficultés ? Quel protocole d’intervention rapide en cas d’urgence ?

Aucune technologie ne peut remplacer l’expertise et la réactivité d’un agent en place. De nombreuses interrogations émergent également concernant les caméras :

  • Sont-elles en nombre suffisant ?
  • Un stock est-il prévu et qui en assurera la gestion (interne ou externe) ?
  • Dans quels délais et à quels coûts ?
  • Quel est le type de pannes récurrentes sur ces équipements ?

En cas de panne généralisée, quelle est la procédure en mode dégradé ? Qui va gérer la maintenance du poste de commande ? Quels sont les moyens d’alerte en cas de rupture de la fibre optique ?

Les réformes en cours à VNF, notamment dans le cadre de la mise en place de la téléconduite, imposent des changements majeurs dans l’organisation du travail. La CFDT-VNF est consciente de l’importance de ces évolutions pour la modernisation de l’établissement mais elle reste ferme sur le fait que ces transformations ne doivent pas se faire ni au détriment des agents ni de la mission de service public.

La mise en place de la téléconduite à la DT NPDC s’effectue par phases et la CFDT-VNF s’assurera que chaque étape soit accompagnée d’un dialogue social de qualité. Pour la CFDT-VNF, il est crucial que les intérêts des agents restent au centre des décisions, et elle restera mobilisée lors de chaque étape de ce déploiement.

DT NPDC – SDVE : Des difficultés qui perdurent

Rappelez-vous, le SDVE de la DT NPDC a fait l’objet d’une réorganisation initiée en 2019 et mise en place en octobre 2023. En 2022, nous évoquions les difficiles négociations avec la direction dans le cadre de cette réorganisation et nous vous avions également fait part des avancées que la CFDT-VNF avait obtenues.

En 2023, des problématiques liées à une surcharge de travail, en raison des postes vacants, avaient été dénoncées.

Une fois encore, à la suite de plusieurs alertes du personnel, la CFDT-VNF a interpellé la direction sur les problématiques persistantes au sein de ce service. Les principaux sujets d’inquiétude relevés incluent :

  • une surcharge de travail et l’absence d’encadrement intermédiaire causées par des postes vacants ou non remplacés,
  • un manque de reconnaissance et une perte de sens au travail,
  • un sentiment d’isolement et d’abandon chez les agents,
  • une communication défaillante de la hiérarchie.

Ces conditions dégradées affectent directement le moral et l’efficacité des agents.

Les agents de la filière domaine/immobilier ont exprimé leurs préoccupations concernant leur avenir professionnel et le manque de clarté dans la répartition des tâches entre la DT et les UTI. Ce flou organisationnel s’ajoute à leurs inquiétudes face à une nouvelle réorganisation annoncée au sein du service, sans réelle visibilité sur ses implications.

Pour donner suite aux alertes de la CFDT-VNF, la direction a organisé des entretiens individuels pour permettre aux agents de s’exprimer. Elle a également affirmé son intention de résoudre les difficultés identifiées et de revoir l’organisation d’une partie de ce service.

En tout état de cause, la CFDT-VNF reste en attente d’actions concrètes et de décisions de la part de la direction. Elle restera mobilisée et vigilante quant aux mesures qui seront mises en place pour répondre aux préoccupations des agents.

DT NPDC – Un futur déménagement annoncé pour les agents du SEME et de la DIMOA/UOL

Cela fait quelques années que les agents du SEME et de la DIMOA/UOL, hébergés dans les locaux de la rue Jeanne Maillotte, subissent des conditions de travail dégradées, notamment en période hivernale :

  • dysfonctionnement du chauffage,
  • problèmes d’humidité et infiltrations d’eau,
  • fenêtres condamnées.

Faute d’un accord avec le bailleur pour financer les travaux nécessaires, la DT NPDC a lancé une prospection pour trouver de nouveaux locaux à Lille, capables d’accueillir les personnels concernés.

Cinq sites avaient été identifiés dans le périmètre ciblé. Cependant, le premier site pressenti a été écarté en raison de travaux de façade trop importants prévus dans les prochains mois, rendant les conditions d’accueil inacceptables pour les agents.

À ce jour, après concertation, la direction a retenu le site ONIX, situé au 556 avenue Willy Brandt. Ce site présente plusieurs avantages :

  • localisation accessible : 18 minutes de la DT NPDC, 9 minutes de la gare Lille Flandres et 7 minutes de la gare Lille Europe ;
  • un plateau de 834 m² comprenant des bureaux lumineux, des locaux techniques, un réfectoire et 15 places de parking pour les véhicules de service (en partie) ;
  • un bâtiment climatisé offrant des conditions de travail modernes.

Le projet nécessite encore des ajustements et les locaux devront être aménagés. Selon le calendrier établi, le déménagement pourrait avoir lieu à la fin du premier semestre 2025.

La CFDT-VNF restera attentive tout au long de ce processus pour garantir des conditions de travail optimales et une transition sans heurts pour les agents concernés.

Que d’eau, que d’eau !

Fin octobre-début novembre, la France a été balayée par 2 violentes tempêtes : Ciaran et Domingos.

Quelques jours plus tard, le Pas-de-Calais a été placé en vigilance rouge pour crues et, depuis, fait face à des pluies diluviennes. Des niveaux records de précipitations ont été atteints générant des crues exceptionnelles de l’Aa et de la Liane notamment. Des cellules de crise ont été activées par la Préfecture, VNF y est associé.

Ainsi, près de 250 communes sont touchées par les inondations. Le Montreuillois et l’Audomarois sont particulièrement impactés. Les dégâts sont considérables et de nombreux habitants du Pas-de-Calais sont lourdement impactés. Des agents de l’UTI Flandres-Lys sont malheureusement touchés à titre personnel.

Les équipes de l’UTI Flandres-Lys et du Service d’Exploitation, Maintenance et Environnement (SEME) sont mobilisées sans relâche pour faire face à cette situation. Elles pilotent la gestion hydraulique pour optimiser les écoulements sur le réseau de VNF et favoriser l’évacuation des eaux vers la mer. Elles veillent à la sécurité des infrastructures et suivent scrupuleusement la montée des eaux.

Un appel aux volontaires a été réalisé auprès des agents des UTI Deule-Scarpe et Escaut- Saint-Quentin. Une trentaine d’agents sont mobilisés pour venir en renfort pour effectuer des missions de patrouillage et de surveillance du réseau et pour réaliser le cas échéant, des interventions de maintenance curative.

Bonne retraite !

Accompagnée des membres du bureau local et de l’équipe nationale, elle a réalisé un travail considérable pour structurer, développer et dynamiser la section NPDC.

Lors de cette Assemblée générale, Carole Derammelaere, membre du bureau depuis fin 2022, a été élue secrétaire adjointe. Dans l’attente du renouvellement du bureau local en fin d’année, Michael Gardin assure la fonction de secrétaire de section.

Une page se tourne avec le départ de Marie-Line. La section NPDC, quant à elle, poursuit sa route aux côtés des personnels publics et privés pour les représenter dans les instances locales et nationales et défendre leurs droits. Et il y a du pain sur la planche !

Marie-Line, nous te souhaitons une bonne et heureuse retraite bien méritée ! Nous remercions l’ensemble des personnels présents à cette Assemblée générale pour la qualité des échanges.

En vue de la mise en service du futur Canal Seine-Nordprévue en 2035, les travaux se poursuivent…

Le chômage de l’écluse de Douai

L’écluse de Douai est un ouvrage important situé sur l’axe à grand gabarit entre le futur canal Seine-Nord
Europe, la Métropole lilloise et le Grand Port Maritime de Dunkerque. Il est au cœur du réseau Seine Escaut, réseau de 1100 km de voies navigables à grand gabarit en cours d’aménagement entre le bassin de la Seine et les ports de l’Europe du Nord.

Le chantier, piloté par le pôle ingénierie de l’UTI Deûle Scarpe, a consisté essentiellement à restaurer les vannes et les vantaux amont et aval, à la réparation structurelle des portes et la restauration des pivots. Des travaux mécaniques et hydrauliques de désamiantage et carénage ont été réalisés sur les vannes et puits de vannes. Une première phase de travaux a été réalisée sur le grand sas entre le 11 septembre et la mi-octobre 2023, une seconde phase est prévue en 2024.

Canal du Nord : les agents sont mobilisés pour la fiabilité du réseau

Ce chantier est un enjeu majeur dans le cadre de la liaison Seine-Escaut. Les travaux ont consisté au remplacement de la porte amont de l’écluse de Palluel, réalisés par l’entreprise EGC. Le remplacement des lisses de guidage du tunnel de Ryaulcourt ainsi que divers travaux d’entretien courant sur les écluses ont été réalisés en régie. Les agents ont été mobilisés sur le chantier du chômage du canal du Nord du 18 septembre au 13 octobre 2023.

Petite écluse deviendra grande

L’écluse de Quesnoy sur Deûle, la plus petite de la région avec ses 110 mètres, est située à un point stratégique entre le futur canal Seine-Nord et les pays de l’Europe du Nord. Des travaux d’allongement de cette écluse sont nécessaires pour pouvoir y faire passer des convois de 135 mètres de long, l’objectif étant de faire passer l’écluse de 110 à 144 mètres. Ce chantier colossal a commencé cet été et se poursuivra jusqu’à la fin de l’année.

En parallèle, des travaux de recalibrage de la Lys et de la Deûle ont été entamés, les opérations d’élargissement et de dragage de ces canaux devraient être terminées d’ici deux ans. Ainsi, la Deûle sera complètement recalibrée en 2023, et la Lys en 2024. Des travaux de dragage de la Deûle entre le port fluvial et l’écluse du Grand-Carré sont réalisés jusqu’en décembre.

La remise en navigation du canal de Condé Pommeroeul imminente

Le canal de Condé-Pommeroeul est fermé à la navigation depuis 1992 à la suite d’un envasement massif. Il constitue un des trois débouchés vers la Belgique, au cœur du corridor Seine-Escaut. VNF a initié des travaux exceptionnels depuis 2018. À terme, ce canal à grand gabarit pourra accueillir des bateaux jusqu’à 3 000 tonnes (contre 1 350 tonnes avant sa fermeture). Sa réouverture est prévue d’ici à la fin de l’année 2023.

Téléconduite : point sur l’avancement du projet en NPDC

Le projet de téléconduite des écluses à grand gabarit est en phase de finalisation et a été présenté très récemment aux organisations syndicales qui ont pu s’exprimer et faire valoir un certain nombre d’ajustements. Ce projet sera présenté prochainement aux agents concernés lors d’une réunion qui sera organisée dans chaque UTI. Des entretiens individuels avec les agents concernés seront planifiés dans la foulée. Des sessions de réalité virtuelle ont été organisées en septembre-octobre pour les éclusiers qui rejoindront le PCC, leur permettant d’être en immersion dans la future salle de téléconduite.

Néanmoins, à ce jour, des questions restent encore sans réponse. Aucune étude d’impact en matière de ressources humaines n’a été transmise aux représentants du personnel ni aux agents à notre connaissance. Par ailleurs, il reste une grande inconnue concernant les dispositifs d’accompagnement et plus particulièrement la mise en place du RIVE (Régime Indemnitaire de la Voie d’Eau). Pour rappel, l’Indemnité Compensatrice Temporaire (ICT) prend fin le 31/12/2023 ! Une réunion d’information sera prochainement organisée par la CFDT-VNF comme cela a été annoncé lors de l’Assemblée Générale du 15 septembre dernier.

SDVE :une réorganisation avec de nombreux postes vacants

Aujourd’hui, nous constatons encore une fois que les personnels sont confrontés à des difficultés et pas des moindres ! En effet, les collaborateurs impactés par cette réorganisation ont reçu leur fiche de pré positionnement fin septembre avec un impératif de se prononcer sous quinzaine, alors qu’on leur laisse entendre pour certain(e)s qu’ils devront prendre en charge des missions supplémentaires en raison des postes vacants actuels ou futurs… tout cela bien sûr avec, dans le meilleur des cas, une valorisation financière « sous-évaluée » voire à l’identique pour les salariés de statut privé. C’est une méthode que nous dénonçons fermement et qui est totalement inacceptable !

La nouvelle organisation a pris effet le 16 octobre dernier avec, encore aujourd’hui, de nombreux postes vacants qui alourdissent la charge de travail des collègues en poste qui, bien souvent, ne sont pas formé(e)s pour assurer ces missions complémentaires. Le « toujours plus sans aucune contrepartie » doit cesser ! Cette politique n’est pas durable et encore moins acceptable !

MOBILISATION RETRAITES, ÇA CONTINUE…

La CFDT a fait la démonstration les 19 et 31 janvier 2023 de sa capacité à mobiliser massivement dans la rue. Forte de cette mobilisation et pour dire NON AUX 64 ANS, l’intersyndicale a arrêté deux journées d’actions spécifiques pour lesquelles nous nous inscrivons pleinement : les mardi 07 février et samedi 11 février 2023.

C’EST TOUJOURS NON !

Nous étions 2,5 MILLIONS de travailleurs et travailleuses dans les rues le 31 janvier pour dire « non aux 64 ans ! »… et c’est la plus forte mobilisation de ces 30 dernières années !

Pour autant, nous devons poursuivre nos efforts pour faire reculer le gouvernement sur cette mesure injuste !

Outre la journée de mobilisation du 7 février, pour la première fois, une mobilisation aura lieu un samedi, pour permettre à toutes celles et ceux qui ne peuvent pas faire grève la semaine :  Alors rejoignez massivement les cortèges !

Avec vous, nous pouvons être encore plus nombreuses et nombreux, pour exprimer notre rejet.

Retrouvez tous les points de rassemblement nationaux ici : www.cfdt.fr/manifestations-retraite

Pour mémoire le lien vers la FAQ de la réforme des retraites CFDT – FAQ Réforme des retraites 2023 – les réponses à vos questions

Nous vous rappelons que vous n’avez aucune obligation de vous déclarer gréviste en amont ou le jour de la grève (sauf en cas d’astreinte) mais cela doit être fait au plus tard le lendemain.

Pour tous les collègues maintenus dans l’emploi, vous pouvez si vous le souhaitez-vous déclarer gréviste auprès du PPRH. Dans ce cas, votre rémunération sera maintenue mais vous serez comptabilisés dans les chiffres de grévistes remontés au ministère par VNF.

Retrouvez

Localement, celles-ci prendront des formes différentes :

MARDI 07 FEVRIER : 

Le travail parlementaire sur le projet de loi va commencer. C’est donc localement et dans les circonscriptions des élus que la CFDT se fera entendre le 7 février prochain. 

  • AVESNES-SUR-HELPE : 9H30 devant la sous-préfecture 
  • ARRAS  9H30 – Place de la Gare
  • BEAUVAIS : 10H00 – Cathédrale
  • BOULOGNE-SUR-MER :
    09h30 – Départ devant CAB, 1 bld Bassin Napoléon
    18h00 – RETRAITE aux FLAMBEAUX devant la sous-préfecture, 131 grande rue, Boulogne sur mer.
  • CALAIS : 9H30 – Place d’armes
  • COMPIEGNE : 10H00 – Rond-point entre Carrefour et Leroy Merlin
  • DUNKERQUE : 13H45 – 38 Rue des Fusiliers Marins (face à la CUD) pour rejoindre le cortège intersyndical qui démarrera à 14H30 – Place de la Gare
  • CHATEAU THIERRY : 16H00 – Place Doumer
  • DOUAI 10H00 – Place d’Armes 
  • HIRSON : 17H00 – Maison des Travailleurs, rue de Dinant
  • LAON : 14H00 – Rond-point de la Gendarmerie (avenue du Général De Gaulle)
  • LILLE : 14H40 – Porte de Paris
  • SAINT-OMER : 12H00 – Journée de contact avec la population, place Foch pour appeler à manifester le 11/02 et à signer la pétition
  • SAINT-QUENTIN : 15H00 – Place du 8 Octobre
  • SOISSONS : 10H00 – Place de l’Hôtel de Ville
  • VALENCIENNES : 10H00 – Place d’Armes (rassemblement à l’antenne locale 15 rue Amédée Bultot à Valenciennes à 09H45)

SAMEDI 11 FEVRIER : MANIFESTATIONS A l’issue de la mobilisation du 07 février nous vous donnerons les formes, lieux et horaires de ces manifestations.

  • CAMBRAI : RETRAITE aux FLAMBEAUX à 18H30 à partir de la Gare
  • MAUBEUGE : RETRAITE aux FLAMBEAUX à 17H30 devant l’Hôtel de Ville de Maubeuge
  • SAINT-QUENTIN : 15H00 – Rue Alexandre Dumas (rond-point du Mac Donald’s)
  • VALENCIENNES  : 14H00 – Place d’Armes

Merci de relayer ces informations à tous vos collègues qui souhaitent se mobiliser pour défendre le droit à la retraite.

Je soutiens la mobilisation intersyndicale et je m’oppose à cette réforme : « je signe la pétition »