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Des négociations menées tout au long de l’année 2023

Lors du CSAM du 30 novembre, les organisations syndicales représentatives au niveau ministériel ont été consultées sur la scission du corps des PETPE permettant la création du corps de PEVNF et sur la création des Emplois Fonctionnels de CEED à VNF. Sur ces deux textes, seule la CFDT s’est prononcée favorablement. La consultation portait également sur le pendant de ces textes pour les DIR où la CFDT s’est abstenue, leurs problématiques, liées à la mise en œuvre de la loi 3DS, n’étant pas les mêmes qu’à VNF. Les textes ont été validés. Il reste la nécessité d’un passage en Conseil d’Etat avant la parution des textes officiels et la possibilité de mise en œuvre.

Ainsi, la création d’un corps spécifique des personnels d’exploitation et de son nouveau régime indemnitaire (RIVE) a suscité de vives discussions durant de nombreux mois. Consultée en octobre dernier sur ce sujet, la CFDT-VNF s’est prononcée favorablement. La scission du corps des PETPE n’impacte en rien les mobilités ou le statut des Personnels d’Exploitation car il s’agit d’un copié-collé du statut actuel où seule la dénomination change. La création de ce nouveau corps statutaire permet la mise en place du RIVE. Ce nouveau régime indemnitaire est une bonne chose puisqu’il devrait donner suite à l’Indemnité Compensatrice Temporaire (ICT) qui, après une seconde et dernière reconduction de 6 mois, doit prendre fin au 31 décembre 2023. Aussi, ce régime devrait permettre de garantir la rémunération des personnels déjà ou prochainement impactés par des projets de réorganisation jusqu’en 2034. La CFDT-VNF a pris une part active dans ces négociations et a obtenu de réelles avancées que nous avons présentées dans notre flash infos du 31 octobre dernier. Ainsi, le RIVE sera, si sa mise en œuvre est conforme au projet, plus favorable pour les agents que le dispositif existant. Quant à l’unité du statut, s’il avait protégé et servi les intérêts des personnels d’exploitation de VNF, nous n’aurions pas dû nous battre pendant presque dix ans pour obtenir le même déplafonnement de la PTETE que les DIR, à savoir 6 500 €.

La CFDT-VNF aurait préféré l’obtention du 4ème grade C3+ à l’instar de la territoriale avec un taux de promotion au C3+ permettant la bascule de tous les chefs d’équipe issus du concours. Il n’en demeure que devant le refus de Bercy sur cette option, le Gouvernement, lors d’une RIM (réunion interministérielle) en novembre dernier, a, en lieu et place, acté la création d’un emploi fonctionnel dont le déploiement se fera sur 3 ans. Sous l’impulsion et les revendications de la CFDT-VNF, il a également acté la mise en place d’un plan de requalification de catégorie C Exploitation en catégorie B également décliné sur une durée de 3 ans. Pour ce dernier, sa volumétrie annuelle n’est pas encore définie par le ministère et donnera lieu à un passage en CSAM fin janvier. Ce plan de requalification devient un dispositif pérenne qui permettra à d’autres C3 d’accéder à la catégorie B au fil des départs en retraite.

Aussi, nous avons pris nos responsabilités car priver les encadrants d’une revalorisation aurait été une erreur et n’aurait pas servi leurs intérêts.

Même si la CFDT-VNF aurait préféré un déploiement de ces deux dispositifs sur une seule année, elle considère ce dispositif d’accès à la catégorie B pour un certain nombre de C3 pérenne comme une réelle avancée. Quant aux emplois fonctionnels, nous serons vigilants et revendicatifs dans l’application qu’en fera la direction en s’assurant d’une équité de traitement entre les chefs d’équipes principaux qui encadrent du personnel. Dès le début d’année, les discussions sur l’application de ces avancées reprendront avec la direction, nous serons au rendez-vous et toujours force de propositions pour préserver les intérêts des personnels.

La CFDT-VNF se félicite de cette nouvelle avancée, mais revendique également l’engagement de la direction de VNF de porter devant les tutelles un plan de requalification plus large pour l’ensemble des personnels, que cela soit des catégories C en B pour les administratifs et de B en A sur le périmètre de VNF. Cette demande a été portée et obtenue dans le cadre de l’intersyndicale CFDT-VNF et FO et nous resterons attentifs sur sa concrétisation.

Des projets de réorganisation qui continuent de se multiplier

Comme pour les années précédentes, 2023 n’a pas échappé à la multiplication des projets de réorganisation. Et pourtant, alors qu’elles sont prévues comme un préalable à tout projet de réorganisation dans le pacte social, les études d’impacts ne sont pas toujours réalisées ou parfois tardivement. La conséquence est que des personnels découvrent en bout de course les impacts qui découlent de cette réorganisation tant sur leur fiche de poste que sur leur rémunération ou leurs conditions de travail. De plus, ces projets brillent par l’absence d’accompagnement au changement et génèrent beaucoup de stress pour les personnels.

Cette année, les projets de centralisation de certaines activités des UTI vers les sièges des DT ou des DT vers le siège de Béthune se sont multipliés. Certains s’accompagnent d’un nouveau mode de management dans différents cœurs de métiers : tantôt « le management fonctionnel » tantôt « le management matriciel ». Cela a été le cas pour la DIMOA, la DSIN par exemple.

Une autre espèce a fait son apparition à pas feutrés : les pôles nationaux (juridique, communication, formation, recrutement) ! Pour ceux-là, la question qui se pose encore (en tous les cas pour la CFDT-VNF) est le fait qu’il s’agisse d’une réorganisation qui ne dit pas son nom, de la constitution ou l’extension d’un réseau d’experts, ce que la direction semble plaider. Pour autant, lorsqu’un manager du siège fixe de nouveaux objectifs ou de nouvelles missions à des personnels en DT, cela semble s’approcher du management fonctionnel. Lorsque cela se fait sans concertation avec la hiérarchie officielle de l’agent, sous couvert d’un soi-disant volontariat à géométrie variable, cela ressemble plus à du management matriciel ou de vieilles méthodes archaïques ! Bref, il y a de quoi s’y perdre sur ces déclinaisons et ces variables du management et nombre des personnels concernés sont en effet perdus ! Cette façon de faire génère, là encore, une forte inquiétude et des difficultés de la part des personnels qui se trouvent confrontés à différents donneurs d’ordre pour lesquels les priorités ne sont pas toujours les mêmes. Mal préparé, mal cadré et non concerté, cela peut également causer un stress complémentaire lié à un accroissement de la charge de travail alors que bien souvent la coupe est déjà pleine ! Tout cela, bien évidemment, toujours sans consultation des instances représentatives du personnel, bien souvent sans valorisation et bien entendu sans accompagnement au changement.

Nouvelles procédures, évolutions des outils informatiques, aménagements des bureaux, modifications des organisations de travail… tout se fait en même temps et nous pouvons dire que 2023 n’a pas épargné le personnel sur le plan du changement.

Comme si tout cela n’était pas assez compliqué et source de tension, la direction continue de mener ces projets et à prendre des décisions unilatéralement en fonction de ses priorités ! La concertation, il faut le dire, ce n’est pas son point fort et la direction n’a pas, jusqu’à ce jour, l’intention de se remettre en cause ou de changer ! Ainsi, de plus en plus souvent, elle contourne les instances du personnel ou les consulte sur des décisions déjà mises en place sans les en avoir informées préalablement. Parfois même, ce sont les élus qui, aux détours d’une conversation, découvrent ces projets et demandent leur inscription à l’ordre du jour d’une instance.

Malgré ces constats répétitifs et de multiples alertes auprès de la direction, rien ne change. Aussi, ce qui devait arriver arriva et les élus du CSA local du siège, lassés d’un tel manque de considération pour les personnels et leurs représentants, ont une énième fois rappelé leur agacement en octobre dernier. Ils ont décidé de boycotter toutes les instances représentatives du siège jusqu’à l’adoption d’une méthodologie concertée qui devra obligatoirement être suivie pour tout projet de réorganisation, d’évolution des organisations ou des conditions de travail. Un premier projet a été transmis par la direction sans permettre à ce stade un accord.

Que d’eau, que d’eau !

Fin octobre-début novembre, la France a été balayée par 2 violentes tempêtes : Ciaran et Domingos.

Quelques jours plus tard, le Pas-de-Calais a été placé en vigilance rouge pour crues et, depuis, fait face à des pluies diluviennes. Des niveaux records de précipitations ont été atteints générant des crues exceptionnelles de l’Aa et de la Liane notamment. Des cellules de crise ont été activées par la Préfecture, VNF y est associé.

Ainsi, près de 250 communes sont touchées par les inondations. Le Montreuillois et l’Audomarois sont particulièrement impactés. Les dégâts sont considérables et de nombreux habitants du Pas-de-Calais sont lourdement impactés. Des agents de l’UTI Flandres-Lys sont malheureusement touchés à titre personnel.

Les équipes de l’UTI Flandres-Lys et du Service d’Exploitation, Maintenance et Environnement (SEME) sont mobilisées sans relâche pour faire face à cette situation. Elles pilotent la gestion hydraulique pour optimiser les écoulements sur le réseau de VNF et favoriser l’évacuation des eaux vers la mer. Elles veillent à la sécurité des infrastructures et suivent scrupuleusement la montée des eaux.

Un appel aux volontaires a été réalisé auprès des agents des UTI Deule-Scarpe et Escaut- Saint-Quentin. Une trentaine d’agents sont mobilisés pour venir en renfort pour effectuer des missions de patrouillage et de surveillance du réseau et pour réaliser le cas échéant, des interventions de maintenance curative.

Bonne retraite !

Accompagnée des membres du bureau local et de l’équipe nationale, elle a réalisé un travail considérable pour structurer, développer et dynamiser la section NPDC.

Lors de cette Assemblée générale, Carole Derammelaere, membre du bureau depuis fin 2022, a été élue secrétaire adjointe. Dans l’attente du renouvellement du bureau local en fin d’année, Michael Gardin assure la fonction de secrétaire de section.

Une page se tourne avec le départ de Marie-Line. La section NPDC, quant à elle, poursuit sa route aux côtés des personnels publics et privés pour les représenter dans les instances locales et nationales et défendre leurs droits. Et il y a du pain sur la planche !

Marie-Line, nous te souhaitons une bonne et heureuse retraite bien méritée ! Nous remercions l’ensemble des personnels présents à cette Assemblée générale pour la qualité des échanges.

En vue de la mise en service du futur Canal Seine-Nordprévue en 2035, les travaux se poursuivent…

Le chômage de l’écluse de Douai

L’écluse de Douai est un ouvrage important situé sur l’axe à grand gabarit entre le futur canal Seine-Nord
Europe, la Métropole lilloise et le Grand Port Maritime de Dunkerque. Il est au cœur du réseau Seine Escaut, réseau de 1100 km de voies navigables à grand gabarit en cours d’aménagement entre le bassin de la Seine et les ports de l’Europe du Nord.

Le chantier, piloté par le pôle ingénierie de l’UTI Deûle Scarpe, a consisté essentiellement à restaurer les vannes et les vantaux amont et aval, à la réparation structurelle des portes et la restauration des pivots. Des travaux mécaniques et hydrauliques de désamiantage et carénage ont été réalisés sur les vannes et puits de vannes. Une première phase de travaux a été réalisée sur le grand sas entre le 11 septembre et la mi-octobre 2023, une seconde phase est prévue en 2024.

Canal du Nord : les agents sont mobilisés pour la fiabilité du réseau

Ce chantier est un enjeu majeur dans le cadre de la liaison Seine-Escaut. Les travaux ont consisté au remplacement de la porte amont de l’écluse de Palluel, réalisés par l’entreprise EGC. Le remplacement des lisses de guidage du tunnel de Ryaulcourt ainsi que divers travaux d’entretien courant sur les écluses ont été réalisés en régie. Les agents ont été mobilisés sur le chantier du chômage du canal du Nord du 18 septembre au 13 octobre 2023.

Petite écluse deviendra grande

L’écluse de Quesnoy sur Deûle, la plus petite de la région avec ses 110 mètres, est située à un point stratégique entre le futur canal Seine-Nord et les pays de l’Europe du Nord. Des travaux d’allongement de cette écluse sont nécessaires pour pouvoir y faire passer des convois de 135 mètres de long, l’objectif étant de faire passer l’écluse de 110 à 144 mètres. Ce chantier colossal a commencé cet été et se poursuivra jusqu’à la fin de l’année.

En parallèle, des travaux de recalibrage de la Lys et de la Deûle ont été entamés, les opérations d’élargissement et de dragage de ces canaux devraient être terminées d’ici deux ans. Ainsi, la Deûle sera complètement recalibrée en 2023, et la Lys en 2024. Des travaux de dragage de la Deûle entre le port fluvial et l’écluse du Grand-Carré sont réalisés jusqu’en décembre.

La remise en navigation du canal de Condé Pommeroeul imminente

Le canal de Condé-Pommeroeul est fermé à la navigation depuis 1992 à la suite d’un envasement massif. Il constitue un des trois débouchés vers la Belgique, au cœur du corridor Seine-Escaut. VNF a initié des travaux exceptionnels depuis 2018. À terme, ce canal à grand gabarit pourra accueillir des bateaux jusqu’à 3 000 tonnes (contre 1 350 tonnes avant sa fermeture). Sa réouverture est prévue d’ici à la fin de l’année 2023.

Téléconduite : point sur l’avancement du projet en NPDC

Le projet de téléconduite des écluses à grand gabarit est en phase de finalisation et a été présenté très récemment aux organisations syndicales qui ont pu s’exprimer et faire valoir un certain nombre d’ajustements. Ce projet sera présenté prochainement aux agents concernés lors d’une réunion qui sera organisée dans chaque UTI. Des entretiens individuels avec les agents concernés seront planifiés dans la foulée. Des sessions de réalité virtuelle ont été organisées en septembre-octobre pour les éclusiers qui rejoindront le PCC, leur permettant d’être en immersion dans la future salle de téléconduite.

Néanmoins, à ce jour, des questions restent encore sans réponse. Aucune étude d’impact en matière de ressources humaines n’a été transmise aux représentants du personnel ni aux agents à notre connaissance. Par ailleurs, il reste une grande inconnue concernant les dispositifs d’accompagnement et plus particulièrement la mise en place du RIVE (Régime Indemnitaire de la Voie d’Eau). Pour rappel, l’Indemnité Compensatrice Temporaire (ICT) prend fin le 31/12/2023 ! Une réunion d’information sera prochainement organisée par la CFDT-VNF comme cela a été annoncé lors de l’Assemblée Générale du 15 septembre dernier.

SDVE :une réorganisation avec de nombreux postes vacants

Aujourd’hui, nous constatons encore une fois que les personnels sont confrontés à des difficultés et pas des moindres ! En effet, les collaborateurs impactés par cette réorganisation ont reçu leur fiche de pré positionnement fin septembre avec un impératif de se prononcer sous quinzaine, alors qu’on leur laisse entendre pour certain(e)s qu’ils devront prendre en charge des missions supplémentaires en raison des postes vacants actuels ou futurs… tout cela bien sûr avec, dans le meilleur des cas, une valorisation financière « sous-évaluée » voire à l’identique pour les salariés de statut privé. C’est une méthode que nous dénonçons fermement et qui est totalement inacceptable !

La nouvelle organisation a pris effet le 16 octobre dernier avec, encore aujourd’hui, de nombreux postes vacants qui alourdissent la charge de travail des collègues en poste qui, bien souvent, ne sont pas formé(e)s pour assurer ces missions complémentaires. Le « toujours plus sans aucune contrepartie » doit cesser ! Cette politique n’est pas durable et encore moins acceptable !

Retour d’une ancienne tête à la DTSO

Depuis le 1er septembre, à la suite de son élection lors de l’assemblée générale de la CFDT-VNF de la DTSO du 15 juin 2023, Sébastien Carbonnier a reçu la confiance des adhérents pour occuper le poste de secrétaire de section sur la DTSO. Cette mission était occupée depuis plusieurs années par Sébastien Pons, qui devient son adjoint en restant membre actif au sein de la CFDT-VNF. L’ensemble de la section le remercie vivement pour son investissement en tant que secrétaire et pour son engagement actuel et futur.

Sébastien Carbonnier est épaulé par trois secrétaires adjoints : Sébastien Pons, Stéphane Barthès et Jean-Charles Tisseyre.

Afin de se présenter auprès des adhérents et sympathisants, Sébastien Carbonnier s’est adressé à eux en leur livrant quelques mots sur sa carrière professionnelle et son cheminement syndical :

Bon retour au sein de l’équipe Séb !

Boycott des instances du siège : les élus disent STOP !

Nouvelles procédures, évolutions des outils informatiques, aménagements des bureaux, modifications des organisations de travail… Et pour mener ces projets, la direction prend des décisions unilatéralement sans réelles concertations en fonction de ses priorités. Ainsi, de plus en plus souvent, elle contourne les instances du personnel ou les consulte sur des décisions déjà mises en place sans les avoir informées préalablement. Parfois même, ce sont les élus qui, aux détours d’une conversation, découvrent ces projets et demandent leur inscription à l’ordre du jour d’une instance.

Les élus en ont assez de faire ces constats répétitifs et d’alerter la direction sans que les choses ne changent. Aussi, ils ont rappelé leur agacement dans leur déclaration préalable au CSA local du 20 octobre dernier et ont décidé de boycotter cette réunion. Ils ont indiqué qu’ils feront de même pour toutes les instances représentatives du siège à venir jusqu’à la mise en place d’une méthodologie concertée préalable à tout projet de réorganisation, d’évolution des organisations de travail ou des conditions de travail.

En effet, les élus n’acceptent plus :

  • d’être mis au pied du mur avec des réorganisations déjà validées ou des créations de postes dont les recrutements sont déjà opérés !
  • d’être informés a posteriori (quand ils le sont) sur des sujets pour lesquels ils devraient être consultés !
  • que les personnels ne soient pas informés des impacts sur leurs fiches de poste et des mesures salariales dont ils bénéficieront en amont de la consultation des instances !
  • que les personnels subissent de nouvelles charges de travail au titre d’« expérimentations » qui fleurissent et pour lesquelles ils ne reçoivent aucun cadrage sur le contenu, la durée et la contrepartie !
  • que les décisions soient prises et parfois mises en place unilatéralement par la direction aux dépens de tous les engagements repris dans le pacte social, mais non appliqués !

La pression, l’opacité, le contournement des instances relèvent clairement du délit d’entrave. Aussi, la CFDT-VNF dit STOP ! Elle reste cependant, comme à son habitude, ouverte au dialogue afin de faire évoluer les choses.

La direction semble avoir entendu nos revendications en organisant un CSA extraordinaire qui se tiendra le 17 novembre prochain. Celui-ci a pour objectif de définir les futures conditions de consultation et d’information de cette instance, notamment dans le cadre des réorganisations ou évolutions des organisations existantes. La CFDT-VNF a d’ores et déjà fait savoir qu’elle souhaite également mettre à profit cette réunion pour définir les conditions d’information ou de consultation des expérimentations, mais aussi clarifier et cadrer le dispositif des lettres de mission.

Si cette réunion débouche sur un accord de méthode qui peut se traduire par un amendement du règlement intérieur du CSA local, la CFDT-VNF sera présente aux prochaines instances. Dans le cas contraire, elle n’y participera pas !

Assemblée générale : une nouvelle secrétaire de section

Lors de l’Assemblée générale CFDT-VNF du siège tenue le 3 octobre dernier, Farida SIAD a été élue secrétaire de section. Farida succède à Rudy Deleurence, qui a fait le choix de céder sa place compte tenu de ses mandats nationaux.

Farida pourra compter sur Pascal Lestienne et Franck Bossavy, ses adjoints, ainsi que sur Claudie Dormieu et Isabelle Testu, respectivement trésorière et trésorière adjointe.